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Conscience, Médias

22 avril : Jour de la Terre

Marc Vachon, m.ps.

Aujourd’hui, Jour de la terre. On ne parle pas assez de la relation étroite qu’il y a entre la santé mentale de l’être humain (et des animaux) et ses relations avec l’environnement, et j’y reviendrai prochainement.

Pour l’instant, une bonne façon de célébrer cette journée, c’est de s’arrêter quelques instants pour regarder la nature… même à travers son ordinateur… Dans un récent billet, je vous ai parlé de ce nid de la Handcock Wildlife Foundation en Colombie Britannique, dans lequel une caméra Web a été installée pour nous permettre de suivre l’évolution des trois œufs pondus par un couple de pygargues à tête blanche (faussement nommés aigles à tête blanche), grands rapaces d’Amérique du Nord. Et bien, aujourd’hui, trois oisillons nés à quelques jours d’intervalle se disputent (c’est le cas de le dire) la nourriture que leur apportent, à tour de rôle, leurs parents qui se relaient pour couver. Pour avoir accès aux caméras web, cliquez ici.

Pour savoir quel est le mâle et la femelle, il faut savoir que chez le pygargue à tête blanche, la femelle est 25% plus grosse que le mâle. Pour se reproduire, il retourne souvent à l’endroit où il est né et il vit généralement près des côtes maritimes, des cours d’eau, des lacs riches en poissons, loin des zones habitées.

Les couples se reforment chaque année et exécutent une parade nuptiale spectaculaire. Ils s’accrochent tous les deux par les serres en tournoyant en plein ciel, se laissent tomber et se séparent juste avant de toucher le sol. Les deux partenaires sont fidèles l’un à l’autre tout au long de leur vie. Ce lien cesse lorsque l’un meurt mais aussi si le couple ne peut se reproduire.

Mâle et femelle construisent ensemble le nid qui peut être posé sur le sol, accroché à une falaise ou installé sur un buisson ou dans un grand arbre (c’est le cas en ce qui concerne ce nid construit en 2008 dans un arbre mort) près d’une étendue d’eau. Le pygargue à tête blanche construit les plus grands nids d’Amérique du Nord : ils peuvent atteindre quatre mètres de hauteur, pour 2,5 mètres de largeur et peser jusqu’à une tonne, mais la dépression centrale n’atteint qu’une dizaine de centimètres. (Source Wikipedia).

À l’occasion de la Saint-Valentin, une entrevue avec Marie Bérubé sur le thème Trouver l’équilibre ...

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